Vendredi grosse pépite que je vous offre aujourd’hui. On part en Californie et plus précisément à Santa Cruz découvrir sans doute ma plus belle découverte de 2020 pour le moment : Drain.
Le nom de Drain m’était familier depuis l’année dernière mais c’est vraiment cette année que j’ai vraiment écouté ce groupe, il y a tout juste cinq mois. En février 2020 se déroule à Louisville dans le Kentucky un festival qui s’appelle LDB Fest et quelques semaines plus tard la chaîne 197 Media sort la prestation de Drain. Une prestation de moins de 13 minutes, oui. Alors forcément je fonce sur cette anomalie et j’en ressors fan dès la fin. Je suis obsédé parce que je viens d’entendre, j’ai une banane incroyable et je n’ai envie d’écouter que ça pour le reste de ma journée.
Quelques jours plus tard je suis récompensé puisque Drain sort son premier album, California Cursed, et c’est la branlée astronomique. Un vrai mix en thrash et hardcore, le crossover le vrai comme on dit. En dix titres pour seulement vingt-deux minutes, le quatuor nous en fait voir de toutes les couleurs. Résultat l’album m’accompagne depuis et il ne se passe pas une semaine depuis mi-avril sans que je l’écoute au moins une fois.
California Cursed, et Drain en général, est un véritable album feelgood qui sent bon le soleil californien avec ses plages et ses skateurs qui sont là pour s’amuser, balancer des riffs thrash des années 80 de la Bay Area et se foutre sur la gueule dans un bon mosphit.
Et si vraiment vous n’avez pas trop de temps devant vous alors écoutez-moi juste le titre éponyme qui sans déconner est franchement un des meilleurs titres que j’ai entendu ces dernières années.