En France, le Canada est plutôt mal vu, au niveau musical je précise. Entre Justin Bieber, Natacha St-Pier, Garou et d’autres, le pays à la feuille d’érable ne nous a pas gâté.
Bien évidemment, je n’oublie pas Sum 41 ou encore Billy talent. Ces deux groupes qui partagent un point commun avec Rush, celui d’avoir été crée en Ontario. Aussi, ces trois groupes sont de très bons fournisseurs de musique. Mais aujourd’hui, on va s’attarder sur le plus vieux des trois : Rush
Alors, je vous en ai déjà parlé, Rush est un trio canadien, de rock progressif, qui a toujours eu le même trio durant sa carrière.
Mais, pour l’album dont je vais vous parler, les choses sont différentes. Car « Rush » est le premier album des 19 de la vie des gars de Toronto. Et, première différence, le batteur n’est pas Neil Peart mais John Rutsey. Le malheureux a du quitter le groupe 2 semaines avant la tournée américaine du groupe, à cause de soucis de santé. Ces derniers lui ayant couté la vie.
Revenons au coeur du sujet, l’album « Rush ». On retrouve 8 chansons, soit, 40 minutes de rock n’roll. Sans aucun clavier. Et c’est là, que l’on remarque une deuxième différence. Car ce premier vinyle des Canadiens, était un pur morceau de Rock n’Roll. Mais le genre de morceau que l’on savoure, que l’on réécoute après beaucoup d’années en l’appréciant toujours autant. D’autant plus que cet album contient Working Man et Finding My Way, deux tubes du groupe. Si, Rush est craint par beaucoup de gens, à cause de leur son et de leur virage prog, alors cet album est pour vous.
En ce 1er mars, « Rush » fête ses 40 ans, et cet album est spécial. Tout d’abord parce qu’il est le premier, et ensuite parce qu’il est un des seuls albums de Rush a être entièrement Rock n’Roll. Il a marqué le début du règne, invisible, de trois garçons, venus de Toronto. Et pour cela, merci et bon anniversaire.