C’est (enfin) la rentrée de votre chronique préférée du vendredi et pour cette semaine on va dans le berceau de ma scène hardcore favorite New York et plus précisément à Long Island pour parler de Pain Of Truth.
Ma découverte du groupe est très récente et pour une fois ce n’est pas via la chaîne Hate5Six mais par la playlist Spotify du webzine No Echo pour les nouveautés hardcore. Je vous présente mon pourvoyeur de groupes pour les prochains mois, faîtes en bon usage !
Pour revenir sur Pain Of Truth, l’homme derrière le groupe (et le micro) s’appelle Michael Smith et on le connait plus pour être guitariste de Hangman (un groupe dont je me note de vous parler dans les prochaines semaines) que pour ses envolées au chant, pourtant c’est bien lui qui mène la barque dans ce nouveau groupe. Sa performance sur No Blame… Just Facts le tout premier EP du groupe qui a vu le jour en juillet 2020 est à acclamer.
Afin de décrire simplement Pain Of Truth, il faut s’imaginer une ode au metal et au hardcore des années 90, notamment aux meilleurs heures de Roadrunner Records à l’époque des Suffocation ou Vision Of Disorder par exemple. C’est court mais d’une intensité folle et avec en plus un invité sur chaque titre de l’EP, on notera notamment la présence de Dan Seely (King Nine) et Tyler Mullen (Year Of The Knife), cela permet de nous offrir un produit ultra riche.